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Grand Prix de Singapour – 20-22 septembre 2013

PIRELLI PRET A ILLUMINER SINGAPOUR

 

Milan, le 16 septembre 2013 –  Après être passée sur deux tracés historiques européens très rapides à Spa et Monza, la F1 fait escale à Singapour, sur un circuit urbain ultra-moderne. Pour la seule épreuve nocturne du calendrier, ce sont les projecteurs qui créent le spectacle, avec l’aide des pneus Pirelli ! Le manufacturier italien apporte cette fois le mélange supertendre P Zero Rouge (le plus tendre de la gamme) et le medium P Zero Blanc, pour composer avec les exigences d’accélération et de freinage de la piste.

En plus d’être une manche nocturne, la course de Singapour présente la particularité de rester calibrée au rythme de vie européen. Toutes les équipes restent donc organisées de la même façon que sur le Vieux Continent, ce qui rend la course de Marina Bay unique en son genre. En termes de durée, la course est également significative, puisqu’il s’agit du Grand Prix le plus long de la saison : la limite réglementaire de deux heures est souvent atteinte. Les équipes embarquent ainsi la plus grosse charge de carburant de la saison à bord des monoplaces. Il s’agit également de l’une des courses les plus humides du championnat ; les chances d’entrée en jeu de la voiture de sécurité sont élevées. Tous ces éléments affectent de façon importante les niveaux d’usure et de dégradation des pneus, ainsi que la stratégie de course adoptée par les écuries.

Paul Hembery, Directeur de Pirelli Motorsport : « Les pneus que nous fournissons à Singapour cette saison représentent un changement par rapport à l’an dernier, où nous avions choisi les supertendres et les tendres. Ce choix s’explique par le fait que nos pneumatiques sont globalement plus tendres au niveau des flancs que l’an dernier, dans le but de maximiser la performance et le niveau d’adhérence. Le tracé de Singapour est assez bosselé –ce qui est commun pour un circuit urbain- et beaucoup d’éléments urbains peuvent compromettre l’adhérence et la traction, comme des lignes blanches au sol ou des bouches d’égouts. Par ailleurs, nous courons de nuit, ce qui représente une série unique de paramètres pour les pneus au niveau des évolutions de températures en piste et dans l’air. Enfin, il s’agit d’une longue course, ce qui permet aux équipes de construire des stratégies intéressantes. Nous sommes toujours accueillis de façon extraordinaire à Singapour ; il s’agit probablement de l’évènement le plus attrayant pour le public en termes de spectacle offert. Notre objectif est comme toujours de contribuer à ce spectacle en fournissant des pneus qui proposent le compromis parfait entre performance et niveau de dégradation et qui garantissent une course serrée ».

Le mot de Jean Alesi, ambassadeur Pirelli : « Je n’ai jamais couru à Singapour, mais je m’y suis rendu pour assister au Grand Prix il y a deux ans. Je ne peux que le décrire comme une vision extraordinaire : ce que les organisateurs ont réalisé est à couper le souffle. C’est fantastique à regarder à la télévision également du pur point de vue du spectacle visuel. De ce que j’ai pu en voir, il s’agit d’une course difficile pour les pilotes et les monoplaces, mais peut-être moins pour les pneus. La vitesse moyenne n’est pas si élevée et il y a beaucoup de passages en accélération/freinage avec assez peu d’adhérence : des conditions qui, en général, ne « punissent » pas trop les pneus. Pour les pilotes, en revanche, il s’agit d’une autre histoire : les températures élevées, l’humidité et la longueur de la course demandent beaucoup, physiquement parlant. Les pistes de Spa et Monza, qui sont juste derrière nous, sont très dures avec les pneus. Ce week end, nous nous rendons vers quelque chose de totalement différent et je pense qu’il sera intéressant de voir quelles stratégies seront adoptées par les équipes à Singapour. Avec le supertendre et le medium, il y a beaucoup d’opportunités pour tenter des choses différentes. C’est un aspect fascinant de la course moderne ».

 

Le circuit du point de vue pneumatique :

La traction est fondamentale à Singapour. Il s’agit d’une piste proposant un très grand nombre de virages (23). L’asphalte est plutôt bosselé et glissant et l’adhérence se trouve altérée par les bandes blanches, les passages piétons et les bouches d’égouts. Mais les monoplaces peuvent tout de même générer 4.3g de forces au freinage en dépit du manque de grip !

Le taux d’humidité de Singapour oscille entre 75% et 90% et il peut également souvent y pleuvoir. Par conséquent, il est très probable d’y voir en piste l’intermédiaire Cinturato Vert ou le pneu pluie Cinturato Bleu.

Singapour est l’un des circuits les plus coûteux en temps de la saison, en raison du nombre important d’arrêts. Désormais, avec la limitation de vitesse à 60 km/h dans les stands et une pitlane longue de 404 mètres, la stratégie se trouvera encore plus influencée.

Pour plus d’informations sur Singapour et ses exigences pneumatiques, ainsi que des informations sur les fenêtres de fonctionnement et les températures, rendez-vous vers l’animation vidéo 3D commentée par Mario Isola, Racing Manager Pirelli, sur le site officiel Pirelli F1 :  www.pirelli.com/f1pressarea

Les notes techniques pneumatiques :

En plus d’être une longue course, la consommation kilométrique est l’une des plus élevées de la saison en raison de la cadence chargée de phases d’accélération/freinage. Environ la moitié du tour se négocie à pleine charge d’accélération, mais il y a également plusieurs grosses zones de freinages.

Tous les pilotes ayant fini sur le podium l’an dernier avaient adopté une stratégie à deux arrêts. Sebastian Vettel avait remporté la course depuis la troisième place de la grille de départ, partant en P Zero supertendres et réalisant deux autres relais en tendres. Jenson Button était arrivé second avec la même stratégie. Le top 10 de la grille s’était élancé avec les supertendres.

La stratégie de course se doit d’être très flexible à Singapour en raison des nombreux paramètres extérieurs comme la voiture de sécurité (entrée en piste deux fois l’an dernier). Les phases de neutralisation sous voiture de sécurité permettent de réaliser un arrêt «gratuit » en termes de temps s’il est réalisé au bon moment, et permet de faire ralentir l’usure et la dégradation des pneus grâce à des temps au tour plus lents.

Les choix pneumatiques jusqu’à présent

  PZero Rouge PZero Jaune PZero Blanc PZero Orange
Australie Supertendre   Medium  
Malaiqie     Medium Dur
Chine   Tendre Medium  
Bahreïn     Medium Dur
Espagne     Medium Dur
Monaco Supertendre Tendre    
Canada Supertendre   Medium  
Grande-Bretagne     Medium Dur
Allemagne   Tendre Medium  
Hongrie   Tendre Medium  
Belgique     Medium Dur
Italie     Medium Dur
Singapour Supertendre   Medium  

 

A la rencontre de l’équipe Pirelli F1 : Luigi De Candia, Chef de Projet IT

Luigi, que l’on appelle Gigi, est l’une des personnes les plus indispensables dans le motorhome Pirelli. Il se charge de surveiller tous les aspects ayant trait à l’informatique de la firme italienne, depuis les réglages du RTS (Racing Tyre System) agissant comme une unité centrale de réunion d’informations numériques, à tous les petits problèmes d’ordre technique.

C’est lui qui est à l’origine de l’essentiel du code du logiciel Pirelli utilisé pour la gestion des pneus ; il doit souvent le mettre à jour ou y ajouter des éléments sur les courses selon les nouveaux besoins de fonctionnalités des ingénieurs. Gigi a étudié l’ingénierie mécanique avant de se rediriger vers l’informatique. Comme il le dit lui-même, la majorité de l’expérience nécessaire à sa tâche a été acquise directement sur le job. Une expérience tout de même accumulée depuis  10 ans au sein de Pirelli !

« A la base, je codais des logiciels pour le procédé de production, mais ensuite, la chance de créer des logiciels pour le sport automobile s’est présentée. Mon premier projet sport automobile avec Pirelli fut le WRC, en 2004 ; puis j’ai travaillé en GT, en Grand Am et en GP3, avant de venir en Formule 1 avec le reste de l’équipe en 2011 ».

Comme la plupart des gens du paddock, Gigi n’a pas beaucoup de temps libre. Lorsqu’il en a un petit peu, il apprécie de pouvoir le passer avec sa fille de trois ans et de retrouver ses amis pour suivre l’autre amour de sa vie…la Juventus !

Plus de nouvelles Pirelli :

Pour la septième année consécutive, Pirelli a été désigné leader mondial de l’indice Dow Jones « Sustainability World » et Dow Jones «Sustainability Europe » dans la catégorie pièces et pneus automobiles, avec un score de 85 points comparé à une moyenne de 51 points pour le secteur concerné.

Pirelli a signé son 60ème titre moto grâce aux pilotes KTM Antonio Cairoli et Jeffrey Herlings, ayant sécurisé les titres MX1 et MX2 sur la dernière manche de Lierop, près d’Eindhoven.

Pirelli a confirmé un nouveau partenariat avec la série hollandaise Supercar Challenge pour une fourniture pneumatique à compter de la saison prochaine. Grâce à ce contrat de trois saisons, Pirelli se trouve maintenant impliqué dans plus de 250 séries à travers le monde !

Une vue nocturne de la piste de Singapour

Le P Zero Blanc (medium), choisi ce weekend avec le P Zero Rouge (supertendre)

Luigi de Candia, Chef de Projet IT

 

 

Suivez-nous sur Twitter @ Pirelli_Media ou Facebook sur www.facebook.com/Pirelli

 

Pour plus d’informations, merci de contacter :

Alexandra Schieren              +33 607 03 69 03     alexandra.schieren@pirelli.com

Anthony Peacock                  +44 7765 896 930    anthony@mediatica.co.uk

Francescopaolo Tarallo       +39 334 684 4307    francescopaolo.tarallo@pirelli.com

(Directeur Communication Sport Automobile et Produits)

Pirelli Tyre  Press Office

Ph. +39 02 6442 4270 – pressoffice@pirelli.com – www.pirelli.com

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