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Présentation du Grand Prix de Monaco – 20 au 24 mai 2015

Les p zero rouge extra-tendres, dotés d’un tout nouveau mélange de gomme, apparaît pour la première fois cette année
sur l’un des circuits les plus tortueux du calendrier

Avec la vitesse moyenne la plus basse enregistrée cette saison,
le grip m
écanique des pneumatiques prend toute son importance

En dépit des difficultés à dépasser, la dégradation des enveloppes et la stratégie peut favoriser la progression au classement

Milan, le 18 mai 2015 - Le Grand Prix de Monaco est sans conteste l’épreuve la plus cotée du calendrier. A course exceptionnelle, nouveauté exceptionnelle, puisque les P Zero Rouge extra-tendres sont pour la première sélectionnés aux côtés des P Zero Jaune tendres. Cette gomme « supersoft » est celle qui offre le plus de grip dans la gamme Pirelli, et inaugure cette saison un tout nouveau mélange. Sa fenêtre d’utilisation est réduite, mais sa capacité à monter rapidement en température s’avère idéale en milieu urbain et sur un tracé aussi sinueux que celui-ci. L’Histoire de Pirelli est également étroitement liée à la Principauté. Lors de la toute première édition de l’épreuve monégasque dans le cadre du Championnat du Monde de Formule 1, en 1950, Juan Manuel Fangio, le vainqueur, pilotait en effet une Alfa Roméo chaussée des pneumatiques italiens. Quant au dernier succès de l’Italien sur cette piste, en 1957 (il y aura exactement 68 ans ce week-end), il le fut cette fois avec Maserati, mais avec des enveloppes Pirelli.

Paul Hembery, Directeur de Pirelli Motorsport : « Monaco fait partie de ces courses que tout le monde attend avec impatience et peu de mots peuvent qualifier combien le spectacle est grandiose. Nous profitons de cette occasion pour présenter notre tout nouveau pneumatique extra-tendre, nominé avec le tendre comme ce fut toujours le cas depuis notre retour en Formule 1 en 2011. On a coutume de dire que les dépassements sont quasi-impossibles à Monte Carlo, mais nous avons pu observer dans le passé l’importance de la dégradation et de la stratégie pour progresser au classement. Notamment en dépassant ! La manière dont les pilotes géreront les « supersoft » sera également déterminante. L’autre particularité de ce rendez-vous monégasque, c’est le programme des festivités qui ajoute à son caractère imprévisible. Mais comme c’est toujours le cas, une préparation soignée et une bonne analyse des données recueillies pendant les essais libres permettra au pilote d’optimiser son potentiel en course, mais surtout dans le difficile exercice des qualifications, plus important que partout ailleurs ! »

Les plus gros challenges réservés aux pneumatiques :

Monaco offre plusieurs aspects non-conventionnels. C’est par exemple l’endroit où la vitesse moyenne est la plus basse et les virages les plus lents du championnat. Ces paramètres mettent ainsi en avant le grip mécanique des pneumatiques plutôt que le grip aéro, justifiant l’utilisation des enveloppes extra-tendres qui offrent l’adhérence la plus importante et la meilleure montée en température de la gamme. Ce circuit est également celui sur laquelle on ne parcourt pas la totalité des 305 kilomètres prévus en course par le règlement.

Les « supersoft » sont cette saison les seules gommes bénéficiant d’un nouveau mélange, offrant aux pneumatiques une meilleure résistance aux phénomènes de cloquage et de « graining ». L’une des évolutions majeures, valable sur tous les produits, réside par ailleurs dans l’optimisation de la pression et de la distribution de la chaleur. Le contact sur l’asphalte en est donc augmenté, améliorant ainsi le grip et l’équilibre, deux facteurs essentiels à Monaco.

La surface du tracé monégasque est la moins abrasive de l’année. Les horaires sont par ailleurs inhabituels, puisque les deux premières séances d’essais libres se déroulent le jeudi, tandis qu’un break est respecté le vendredi pour permettre de rétablir le trafic. Ce n’est pas sans effet sur l’évolution de la piste qui ne se recouvre quasiment pas de gomme pendant le week-end.

Les zones de dégagements étant limités, les accidents sont légions et peuvent provoquer l’entrée en piste de la voiture de sécurité. Un autre paramètre à prendre en considération à l’heure d’établir la stratégie, sachant qu’en raison de la faible usure des pneumatiques, un seul et unique arrêt au stand peut tout à fait correspondre à une tactique victorieuse.

La stratégie victorieuse en 2014 : La preuve de ce que nous venons d’avancer, Nico Rosberg (qui s’était élancé en pole position) profita du Safety Car apparu au moment opportun pour n’effectuer qu’un pit-stop. Lewis Hamilton, son équipier chez Mercedes, l’imita, et tous deux s’arrêtèrent au 25e des 78 tours du Grand Prix en optant pour une combinaison extra-tendres / tendres. Romain Grosjean, le mieux classé des pilotes ayant respecté deux arrêts, se classa 8e, tout comme bon nombre de pilotes en retrait sur la grille, qui parvinrent ainsi à progresser au classement.

Écart de performance attendu entre les deux types de gommes : de 1’’0 à 1’’1 au tour.

Météo prévue en course : Le ciel alterne généralement entre nuages et éclaircies, avec des températures allant de 15°C la nuit à 25°C en journée. Durant les quatre jours, il subsiste toujours la possibilité de voir apparaître des averses.

Le team Pirelli choisit son numéro de course : Et ce sera le 75. « C’est sentimental », explique Roberto Boccafogli, responsable presse chez Pirelli. « En 1975, le Grand Prix de Monaco fut remporté par Niki Lauda, qui offrit à la Ferrari 312T sa première victoire dès sa première sortie. Il posa ici la première pierre à l’édifice de son titre, cette année-là. Ma monoplace favorite et mon pilote préféré, qui m’ont donné goût à la F1. »

Qui suivrons-nous sur Twitter cette semaine : @pablohembery. Sur ce compte, vous retrouverez de la F1 – un peu -, mais surtout beaucoup de références sur la vie quotidienne, l’art, et bien entendu sur la ville de Bristol. Une sympathique intrusion dans l’univers du directeur de notre branche « motorsport », dont les centres d’intérêts vont largement au delà de la Formule 1.

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Pour plus d’informations, merci de contacter :

Roberto Boccafogli •  +39 335 125 6694  • roberto.boccafogli@pirelli.com
(Head of F1 Press Office)
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Pirelli Tyre  Press Office

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